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Les derniers tabous

30 août 2013 | Filed under: Parents, Vie quotidienne and tagged with: culpabilité, dépression post-partum, honte, How I met your mother, phobie d'impulsion

Devenir parent, c’est accepter de passer par toute une gamme d’émotions : les plus belles, les plus intenses, mais aussi les moins nobles et même les plus laides. Je n’ai qu’un peu plus d’une année d’expérience comme maman, mais j’en suis venue à voir que la parentalité est loin de toujours être rose bonbon… sauf que personne n’en parle publiquement. Je pense que le temps est venu de cesser de se mettre la tête dans le sable.

Voici la liste des tabous qui me semblent les plus « honteux », mais malgré tout vécus par une majorité de parents. À bas la honte, assumons nos travers, les enfants n’en seront que plus équilibrés si on accepte le soutien de notre entourage. Comme le dit un proverbe africain « Ça prend un village pour élever un enfant ». J’ai tendance à croire à cet adage plein de sagesse.

Tabou #1 : Être tanné du rôle de parent

Les parents vont l’avouer sous le sceau de la confidence : parfois, on donnerait notre enfant au premier venu. C’est une émotion négative qui nous fait sentir coupable (le spectre de la culpabilité est de retour!), voire agressif dans nos pensées. C’est un des derniers tabous de notre société qui glorifie ce rôle.  La peur d’être un « mauvais parent » explique assurément le silence sur le sujet. Or, s’il y a parfois des jours où on est tannés de notre emploi, de nos études, de notre famille, de nos amis, pourquoi en serait-il autrement de nos enfants ? Dans ces moments, le répit est essentiel. Vous devez demander de l’aide de vos proches ou bien avoir recours à des organismes comme les Relevailles ou une halte-garderie. Faites évacuer le trop plein en parlant de ce qui vous épuise dans des groupes Facebook par exemple. Réprimer les émotions ne donnera rien de bon, l’enfant le ressentira même si vous faites de votre mieux. Allez respirer un bon coup, faites des blagues sur le sujet, gardez votre calme et tout ira bien. Vous êtes humains avant tout.

D’ailleurs, c’est grâce à mon émission fétiche « How I Met Your Mother » que j’ai cessé de m’en faire et de me sentir coupable de mes pensées.

*Attention, des punchs de l’émission seront révélés dans la suite de ce message. Si vous ne voulez pas le lire, sautez tout de suite au tabou numéro 2.*

Je me suis toujours identifiée au personnage de Lily. Dans la série, elle est tombée enceinte au même moment que moi et on a suivi toutes les étapes de sa « grossesse » simultanément. On voit même son petit garçon grandir au même rythme que Laurent. Dans la dernière saison, elle se confie à son meilleur ami Ted. Elle lui dit qu’elle a un secret qu’elle ne révélerait à personne d’autre que lui. Elle lui confie ceci : parfois, elle aimerait cesser d’être une mère… À ce moment, Simon et moi avons presque pleurés tant cela reflétait comment on se sentait à ce moment-là. Enfin, on n’était plus seuls. C’est une fiction bien sûr, mais cette courte phrase nous montrait ce que tant de gens vivent, mais sans le dire ouvertement… Même si on aime notre enfant plus que tout au monde, il nous arrive de souhaiter un court instant revenir à cette « vie d’avant », celle qui nous semble maintenant bien lointaine. Puis, notre enfant nous sourit et on se rappelle que tous nos efforts en valent le coup, malgré les cernes et les cheveux blancs…

Lily et Ted dans la série How I Met Your Mother

Lily et Ted dans la série How I Met Your Mother

Tabou #2 : Les effets collatéraux d’une épuisante fatigue

Tout le monde nous le dit : c’est important de se reposer avant d’avoir notre enfant parce que les nuits sont courtes. On le sait, on se dit qu’on est prêts, mais on n’imagine pas les dommages possibles sur notre santé mentale. Avoir un bébé qui se réveille environ 4 fois par nuit, ça gruge tout ce qu’on a comme énergie : vraiment tout. Juste arroser nos plantes devient une tâche surhumaine, alors imaginez l’état de notre domicile… Plus encore, on en vient à halluciner notre enfant dans notre lit lorsqu’il repose tranquillement dans sa bassinette ou on a peur de nos propres comportements.

J’ai vécu un grand soulagement lorsque j’ai lu l’article du site « Découvrir la maternité » consacré à la dépression post-partum. Je ne pense pas l’avoir vécu, mais j’ai enfin mis un nom sur un comportement que je préférais cacher : celui des phobies d’impulsion. J’avais peur d’être tellement épuisée et d’en arriver à souffrir de somnambulisme et de perdre le contrôle. Je craignais d’avoir des gestes brusques envers mon enfant. J’avais peur de devenir folle… Je me suis mise à lire sur tout ça et le processus mental est le même qu’avoir l’envie de jeter notre sac à main dans les rails du métro, comme ça sans raison. L’avez-vous déjà vécu? En questionnant mon entourage j’ai vu que c’était très commun comme pensée. Notre esprit divague, nous teste, mais en fait il faut accepter de le vivre et faire le choix de bien agir.

Tabou #3 : Avoir l’impression d’avoir toujours tort

Vous avez sûrement déjà vu circuler un petit texte plein de vérités dans les réseaux sociaux : les mères ont toujours tort. Voici la première partie :

Les mères qui n’allaitent pas ne se soucient pas de la santé de leur bébé ;
Celles qui n’allaitent que quelques semaines sont des lâcheuses ;
Celles qui allaitent plusieurs mois sont des perverses ;
Celles qui optent pour l’allaitement mixte sont des indécises qui vont mêler leur bébé ! […]

Et ça continue longtemps comme ça et ça fait tellement du bien de voir qu’on se sent toujours coupable de tout, peu importe tous les choix qu’on fait. Pourtant, il est évident que tous les parents, tous les enfants sont différents, donc évidemment chaque famille est différente. Ne pouvons-nous pas pour une fois accepter que les autres aussi peuvent avoir raison même s’ils font d’autres choix que les nôtres? Du même coup, cela ne signifie-t-il pas qu’on a toujours raison si on le fait pour le bien-être de notre famille?

Alors voilà. Je suis certaine que je n’ai pas encore mis des mots sur les autres tabous qui continuent à exister dans notre société. N’hésitez pas à en parler dans les commentaires, nous serons plusieurs à vous en remercier.

*Cet article a donné suite à une série. Le deuxième opus s’intitule Ouvrir la boîte de Pandore

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Written by Marie-Christine Pitre

En plus d’être la maman de Laurent, né le 4 juin 2012, je suis doctorante en histoire de l’art à l’UQAM. Je travaille sur le design québécois, plus précisément sur la chaise Solair créée par Fabio Fabiano et Michelange Panzini en 1972. Je suis passionnée par l’art, l’histoire et le design, mais aussi sur tout ce qui touche à la parentalité. Je suis membre du CELAT, de l’UAAC-AAUC et du Canadian Design Studies Network. J’ai rédigé le blogue Sur les traces du constructivisme alors que j’étais étudiante à l’Université d’État des sciences humaines de Russie, à Moscou. Je souhaite combiner mes passions et devenir accompagnante à la naissance en plus de rédiger ma thèse.

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12 Responses to "Les derniers tabous"

  1. Avatar Vanessa dit :
    31 août 2013 à 0 h 35 min

    J’ai beaucoup aimé l’article et je me suis reconnue à plusieurs endroits. Moi j’aurais aimé qu’on me dise avant d’accoucher que ça se peut qu’on ne ressente pas de coup de foudre pour notre enfant quand ils nous le mettent sur le ventre ou quand on le prend enfin dans nos bras, que des jours on aurait envie de revenir en arrière et de ne plus être parent, que c’est correct de trouver ça plate un bébé les premières semaines et de ne pas avoir forcément envie de lui parler à journée longue… Malgré l’immense quantité d’informations qui est accessible aujourd’hui, il y a encore trop de tabous.

    Répondre
    1. Avatar Audrey dit :
      31 août 2013 à 9 h 23 min

      Je te comprends! Moi j’ai eu la chance d’avoir une amie qui m’a tout dit cela avant mon accouchement et j’avoue que ça m’a enlever un gros poids… Mais tu as tout à fait raison, c’est un tabou qu’on n’aborde pas!!

      Répondre
  2. Avatar Sara Houle dit :
    31 août 2013 à 0 h 41 min

    Oooooh merciiii! Je suis super touchée! Quand j’ai écrit ce billet, j’ai beaucoup hésité avant de le publier (je me demandais si ce n’était pas un peu trop d’extimité et si je ne manquais pas de crédibilité parce que je ne suis pas une experte en santé mentale, entre autres), mais finalement je l’ai publié parce que j’espérais que ça aiderait quelqu’un… Ça me fait super plaisir que ça t’ait permits de réfléchir et d’écrire ce si beau et si vrai billet! Depuis que je suis mère, j’ai decide d’en finir avec la culpabilité : ça ne sert à rien, la culpabilité!!! Et j’adore la phrase « Ne pouvons-nous pas pour une fois accepter que les autres aussi peuvent avoir raison même s’ils font d’autres choix que les nôtres? »

    Merci pour la superbe mention et le billet éclairant!! 🙂

    Répondre
  3. Avatar Lili dit :
    31 août 2013 à 7 h 44 min

    Cet article en touchera plus d’une! Merci de briser les tabous!!

    Pour ma part j’aurais pu écrire mot pour mot le même commmentaire que Vanessa tellement j’ai vécu la même chose, je n’ai pas aimé les premières semaines… l’amour profond et inconditionnel que je rescend aujourd’hui pour ma fille n’est pas apparu du jour au lendemain, c’est un lien qui s’est créé de jour en jour et qui a muri quand ma fille a commencé à communiquer avec moi (me regarder dans les yeux, me sourire, me reconnaître et se calmer dans mes bras pour citer quelques exemples).
    Je me suis sentie très coupable au début, jusqu’à ce qu’une discussion sur un groupe facebook me fasse réaliser que je n’étais pas la seule à vivre ces sentiments! 😉

    Répondre
    1. Avatar Vanessa dit :
      31 août 2013 à 11 h 05 min

      C’est difficile à accepter au départ, parce qu’on s’imagine toutes le fameux coup de foudre, mais souvent il n’en est rien, que ce soit à cause des hormones ou d’un accouchement difficile. Les premières semaines, je trouvais ça vraiment plate être à la maison avec mon bébé, je ne savais pas quoi faire avec, je m’ennuyais de mon travail… J’ai commencé à vraiment aimer mon fils à un moment précis: il pleurait à s’en fendre l’âme et s’est instantanément calmé dès que je l’ai pris dans mes bras. Il s’était alors collé sur moi et a cessé de pleurer aussi soudainement qu’il avait commencé. J’ai alors compris que mon fils m’aime et qu’il a besoin de moi. Maintenant qu’il me sourit et qu’il est plus éveillé, je l’aime encore plus et j’aime encore plus m’en occuper.

      Répondre
  4. Avatar Sara dit :
    31 août 2013 à 8 h 51 min

    Ouf! Droit dans le coeur et dans le mille, tout ça.

    J’ai une merveilleuse amie qui m’a dit quelque chose de très réconfortant et apaisant cette semaine. Je lui ai dit, piteuse et honteuse et même fâchée contre moi-même (et coupable, bien sûr): « Je ne suis pas une bonne mère. Je n’étais pas faite pour être mère, je n’aurais pas dû avoir un enfant. Je l’adore, mais…! Je ne me sens pas gratifiée par mon nouveau rôle. Je me sens accomplie quand je travaille, quand je suis aux études. »

    Elle m’a dit: « Tu es une excellente maman pour ton garçon. Tu es SA maman. Tu n’es pas une maman, l’archétype de la maman, celle qui adopte les enfants des autres et gazouille devant tous les bébés. Tu es la maman de Félix. Et c’est bien assez pour lui. »

    Répondre
  5. Avatar Sara Houle dit :
    31 août 2013 à 9 h 19 min

    Je crois que les tabous que je suis le plus capable de cerner, c’est ceux qui m’ont fait sentir comme une mauvaise maman parce que je n’appréciais pas du tout 1- la phase du nouveau-né, et 2- l’allaitement.
    1- J’avais l’impression que je ne devais pas parler de mes frustrations et de mes problèmes pendant la phase du nouveau-né, à cause des centaines de personnes qui n’arrêtaient pas de me dire que c’était don’ la meilleure période de ma vie (alors que moi je trouvais que c’était la pire!) et du fait que tout le monde parlait de cette phase en terme super positifs. Quand j’avais le malheur d’évoquer un petit peu mes problèmes, les gens me rappelaient que plein de parents n’arrivent pas à concevoir, ou me faisaient sentir comme si c’était une indication que je n’aime pas mon bébé (alors que c’est complètement faux!). En plus, j’avais un nouveau-né particulièrement facile (a commencé à faire ses nuits à 2 mois, ne pleurait pas très souvent pour un nouveau-né, ne faisait pas de reflux, etc.), alors je me sentais complètement coupable d’avoir de la difficulté parce que je n’avais pas tous ces obstacles à surmonter… D’ailleurs, un billet de blogue de mootable (en anglais) m’a fait beaucoup de bien à ce sujet! http://mootable.wordpress.com/2013/07/24/telling-you-what-you-want-to-hear/

    2- Pour l’allaitement, j’ai vraiment un gros ressentiment envers les intervenants du milieu de la santé et des mamans en général d’avoir essayé de me faire croire que ce serait facile, épanouissant, valorisant et moins de trouble d’allaiter. Comprenez-moi bien : Je trouve que quand ça va bien, l’allaitement est une belle pratique qui devrait être encouragée! (Comme je l’ai déjà dit ici http://decouvrirlamaternite.wordpress.com/2013/04/04/lallaitement/, « Je ne suis pas pro-allaitement, je suis pro-choix! ») Mais quand l’allaitement va très mal, et que c’est évident que ça mine le moral de la maman et du bébé, que la difficulté est trop grande pour être surmontée, il faudrait qu’on soit réaliste et qu’on évite les affirmations du genre « Continue, tu donnes le meilleur à ton bébé! » (sous-entendant ainsi que si elle ne continue pas, elle sera une moins bonne maman que les autres…) ou « Moi j’ai continué, ça a l’air que je suis plus déterminée que toi » (ça n’a rien à voir : toutes les situations sont différentes! Il ne faut pas présumer que parce que vous avez allaité, vous avez vécu la même chose que les autres!!!). Les infirmières et consultantes en allaitement devraient pouvoir dire à une maman qui est sur le bord de la dépression : « Tu as tout tenté, tu as essayé tout plein de solutions; maintenant, on peut dire que tu sembles épuisée et que tu as peut-être besoin d’un petit break »… Et aussi elles devraient pouvoir parler de biberon si des mamans leur posent des questions sur le sujet! Je trouve ça tout à fait malsain qu’elles ne puissent en parler : ça sert à quoi de nier la réalité, que le biberon fait partie de la vie de tous les jours pour plusieurs mamans??? Bref, je trouve qu’il y a plusieurs tabous dans la société et dans le milieu de la santé au sujet de l’allaitement, et qu’on devrait régler ces problèmes si on veut avoir davantage de mamans allaitantes au Québec… Parce que les mamans qui ont été traumatisée de leur première expérience n’auront certainement pas envie d’essayer à leur 2e, 3e ou 4e bébé! (Ouf, ce sujet me tient à coeur, je crois!)

    Répondre
  6. Avatar Gabrielle dit :
    31 août 2013 à 12 h 28 min

    Rachel a 3 ans et mes plantes sont toujours aussi négligées… Ça fait longtemps que j’ai accepté mon statut de mère imparfaite. En fait, je pense que ce qui m’a sauvée c’est de ne jamais avoir eu d’attente envers moi-même, même avant la naissance de mon petit monstre. Je savais que nous ne serions pas des parents qui font tout ce qu’il faut, quand il le faut. On a toujours assumé ça en se disant que, de toute façon, des parents parfaits ne font pas nécessairement des enfants parfaits.

    On fait de notre mieux sans culpabiliser pour toutes nos petites lacunes. Autrement, on aurait jamais pu avoir d’enfant. On s’est parfois (souvent…) arraché les cheveux, mais jamais on reviendrait en arrière, à notre vie d’adulte sans enfant.

    Répondre
  7. Avatar Marie-Christine Pitre dit :
    3 septembre 2013 à 10 h 17 min

    Merci à vous toutes pour vos témoignages d’une grande honnêteté. Les autres tabous que vous soulevés ont poussés ma réflexion plus loin et je prépare actuellement la suite de cet article.

    Répondre
  8. Ouvrir la boîte de Pandore dit :
    4 septembre 2013 à 7 h 09 min

    […] dois donc vous avouer humblement que j’ai hésité avant de publier mon dernier article Les derniers tabous. En fait, j’ai demandé à un de mes groupes de mamans de me lire et de me donner leur […]

    Répondre
  9. L’enfant dans le coeur dit :
    27 septembre 2013 à 13 h 30 min

    […] s’agit d’une série qui comprend déjà les articles Les derniers tabous et Ouvrir la boîte de […]

    Répondre
  10. Avatar Fannie dit :
    21 avril 2014 à 21 h 43 min

    «Plus encore, on en vient à halluciner notre enfant dans notre lit lorsqu’il repose tranquillement dans sa bassinette ou on a peur de nos propres comportements.»

    Tellement! J’ai passé des réveils en panique pensant avoir tué mon bébé en ayant oublié de le remettre dans son lit. Ouf, je ne suis pas la seule!

    Répondre

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